“Ensuite, malgré la pluie, ils m’emmènent à Vauquois, voir les stigmates de la Grande Guerre. Ici, des milliers d’hommes sont morts. Le terrain porte encore les cicatrices des mines et des obus.” Tweet Jour 50 – Metz et le petit musée de la photo de famille ← Jour 52 – Ici repose l’idéal socialiste →